Nouvelles – Sébastien Monod

Recueils de nouvelles

De chair et de cendres

Éditions des Deux Anges

Cet ouvrage est composé de six textes à thématique gay écrits entre 2013 et 2018. Les trois premiers (De chair et de cendres, Des hommes et des bêtes et Dans l’arène des rois), sous leur air de contes, évoquent des sujets bien contemporains, comme les premières fois, mais aussi les déboires amoureux. Deux de ces textes abordent la mise à l’index et l’exclusion des jeunes homosexuels. Mais, comme toujours dans les contes, les histoires se terminent bien.

Les deux nouvelles suivantes (La Marque rose et Étincelles) sont davantage ancrées dans notre époque, elles pointent les mauvais côtés de l’humanité. Fort heureusement, il y a les bons côtés pour compenser !

La Splendeur ou l’Effroi, la nouvelle qui clôt ce livre, nous plonge dans le far-west américain du XIXe siècle. Une autre époque, un contexte très différent, mais il ne faut pas oublier que les sentiments ont toujours eu une longueur d’avance sur les mentalités !

Toutes ces nouvelles ont été publiées au sein de différents recueils dont le but était de lutter contre l’homophobie et en particulier contre l’isolement des jeunes homos ou trans rejetés en raison de leur identité. Elles sont ici pour la première fois rassemblées

Les contes impressionnistes

Éditions des Deux Anges

« Le Photomatic » était un lieu privilégié dans lequel quiconque pouvait entrer pour participer à une aventure originale : s’entretenir, l’espace d’une demi-heure, avec l’écrivain Sébastien Monod. Ce dernier, armé de son stylo, a recueilli les quelques confidences livrées grâce à un questionnaire de Proust revisité. A priori anodines, les questions ont fourni une foisonnante matière qui a donné naissance à une série de portraits littéraires, construits sur le mode du conte. Ce sont ces courts textes que l’on retrouve dans cet ouvrage, agrémentés de portraits cette fois-ci photographiques.

Ces rencontres se sont déroulées durant l’été 2016, à Rouen, Giverny, Deauville et Auvers-sur-Oise, dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, dont le thème était « Le portrait ».