Photo

ON DIRAIT LE SUD (AGENDA 2019)

Éditions des Deux Anges

Pour mon travail d’écriture ou pour mes loisirs, j’aime voyager. Mes pas me mènent plus volontiers dans le sud de la France. Pour cet agenda, j’ai sélectionné 56 photos, sans ordre particulier, sans ligne directrice. Seule la beauté des paysages rencontrés a guidé mon choix.

OUESSANT, MON SANG

Éditions des Deux Anges

Trois mois passés sur une île, logé dans un sémaphore, à coup sûr, ça marque les esprits. Et pas seulement les esprits. En l’occurrence, c’est mon corps entier qui a été engagé dans cette aventure, car si j’ai vu de merveilleux paysages et rencontré des personnes tout aussi merveilleuses, c’est quelqu’un que je ne m’attendais pas à trouver qui m’est apparu à Ouessant : moi !

Avec ce livre de photos, je vous emmène à la découverte d’une terre exceptionnelle, contrastée et rayonnante, en un mot, séduisante. De cliché en cliché, ce sont des instantanés de vie que je vous offre, au sens propre. Des moments captés, des lumières surtout, qu’il ne fallait pas rater, tout change tellement vite à Ouessant. Tout change et tout reste identique, véritable paradoxe ! Cette expérience m’a tellement marqué que j’ai eu envie de la partager avec vous, en espérant que vous ressentirez l’émotion qui pulse dans mes veines à la simple évocation du mot « Ouessant » !

MIMÊSIS

Jacques Flament Éditions

« Mimêsis », c’est un ouvrage de 70 pages consacré à une sélection de photos (50) rassemblées autour du thème de la géométrie et du détail. Ces photos, je les ai prises dans plusieurs villes en France, mais également en Europe, (Pays Bas, République Tchèque…). Dans l’image ci-dessous, vous avez un petit aperçu de mon travail. Et voici le texte de la 4e de couverture :

Comme le cinéma, la photographie n’est rien d’autre qu’un regard, une mise en scène. En ce qui me concerne, si ma vision du monde est artistique, le moyen de l’exprimer a quelque chose de scientifique, car ce que mon œil voit, ce sont des lignes, des cercles, des carrés, des triangles… Littéraire jusqu’au bout des ongles, je me suis ainsi réconcilié avec la géométrie, une matière qui, à l’école, m’épouvantait. Rendre visible cette géométrie omniprésente est devenu une obsession, presque une mission.

Le photographe montre ce que l’homme pressé ne voit pas. Parfois il donne sa propre interprétation de la réalité, en rendant digne d’intérêt ce qui paraît, aux yeux de tous, banal. Celui qui photographie est donc à la fois démiurge et magicien : il emprunte au réel des éléments pour activer l’imagination de celui ou celle qui regarde son travail, cela dans le but de créer un nouveau monde. Ce procédé, Aristote l’avait théorisé et nommé « mimêsis ».