Entre nous.

Nouveau roman : « Le Chat bleu »

Couverture Le Chat bleu

Ce roman, je l’ai commencé lors d’une résidence d’écriture au Monastère de Saorge dans l’arrière-pays mentonnais en 2016 et achevé lors d’une autre résidence d’écriture, cette fois en Camargue en octobre 2018.

Cependant, « achevé » n’est pas le terme exact, car si le texte a bien été finalisé à ce moment-là, en tout cas sa colonne vertébrale, il a par la suite fait l’objet de plusieurs réécritures. Un travail sur la forme, mais aussi sur le fond. Car ce roman est complexe, il se déroule en 2045 entre l’Italie et la France, dans une société chamboulée, chaotique, dangereuse. Mais il était hors de question pour moi de faire une dystopie – il y en a déjà tant eu, et très bien écrites ! Non, je voulais au contraire apporter ma vision des choses, une vision à moyen terme et emplie d’espoir. Si les signes ne sont guère encourageants actuellement, je suis persuadé que l’être humain survivra à toutes les crises en cours et à venir, tout du moins une partie de l’humanité, celle qui défend la bienveillance et qui maintient le flambeau de l’espoir, des termes ô combien galvaudés, pourtant essentiels. L’avenir le prouvera, j’en suis certain !

Trêve de bavardages, entrons dans le vif du sujet avec le résumé de ce roman !

Pourquoi passer toute une vie sans se voir ? C’est en substance la question que se pose le jeune Élian Mattei, orphelin adopté par une famille génoise propriétaire d’un cirque, en apprenant qu’il a un frère à Marseille. Aussi se lance-t-il à sa recherche en compagnie du ténébreux mais futé Vittore Campanello, un guide qui connaît la cité phocéenne comme sa poche.

Sur leur route, ils croiseront frère Émeric, un moine vivant dans les montagnes de l’arrière-pays mentonnais, et, se mêlant à la faune bigarrée d’un Marseille noctambule et violent, ils rencontreront Lou Baker, une chanteuse de cabaret, et son fils, Neil, occupé à gagner sa vie et son indépendance, à l’instar des jeunes de son âge, hyperconnectés aux machines, mais déconnectés de l’humanité.

Dans ce monde au bord du chaos, des liens vont pourtant se tisser entre tous ces êtres.

Amour, amitié, fraternité, les cartes sont sans cesse rebattues dans le quatorzième roman de Sébastien Monod qui signe ici une fausse dystopie : Le Chat bleu révèle, au contraire, une irrépressible foi en l’être humain.

Rendez-vous dans la boutique du site pour commander Le Chat bleu (Éditions des Deux Anges), et, une fois lu, n’hésitez pas à me laisser un petit message pour me dire ce que vous en avez pensé. Bon voyage dans l’espace et le temps, entre Gênes et Marseille en 2045 !

Sébastien

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