Romans

Couverture du roman Coma

Cette histoire est inspirée de faits réels.

COMA

Éditions de La Trémie
Lauri traverse une mauvaise période. Son mari est dans le coma suite à un accident de la route, ses deux enfants adolescents « tournent mal » et lui-même rencontre de sérieuses difficultés au travail avec son supérieur hiérarchique. Un jour, après avoir rendu visite à son époux à l’hôpital, Lauri, au bord du désespoir, ressent le besoin de se confier à quelqu’un, il décide de rendre visite à son meilleur ami. Hélas, celui-ci est absent. Lauri erre dans les rues de Paris. La nuit arrive, il n’a pas la force de rentrer chez lui. Surpris par la pluie, il grimpe sur l’échafaudage d’un immeuble en travaux pour trouver refuge et s’endort, épuisé. Mais il est repéré par l’un de ses occupants qui appelle la police. Quand cette dernière surgit, Lauri, dans un demi-sommeil, pense être agressé et se défend. Les policiers le jugent dangereux et l’emmènent au poste, puis dans un établissement pour personnes présentant des troubles psychologiques. Commence alors pour lui une lente descente en enfer…

LE CHAT BLEU

Éditions des Deux Anges

Pourquoi passer toute une vie sans se voir ? C’est en substance la question que se pose le jeune Élian Mattei, orphelin adopté par une famille génoise propriétaire d’un cirque, en apprenant qu’il a un frère à Marseille. Aussi se lance-t-il à sa recherche en compagnie du ténébreux mais futé Vittore Campanello, un guide qui connaît la cité phocéenne comme sa poche.

Sur leur route, ils croiseront frère Émeric, un moine vivant dans les montagnes de l’arrière-pays mentonnais, et, se mêlant à la faune bigarrée d’un Marseille noctambule et violent, ils rencontreront Lou Baker, une chanteuse de cabaret, et son fils, Neil, occupé à gagner sa vie et son indépendance, à l’instar des jeunes de son âge, hyperconnectés aux machines, mais déconnectés de l’humanité. Dans ce monde au bord du chaos, des liens vont pourtant se tisser entre tous ces êtres.

Amour, amitié, fraternité, les cartes sont sans cesse rebattues dans le quatorzième roman de Sébastien Monod qui signe ici une fausse dystopie : Le Chat bleu révèle, au contraire, une irrépressible foi en l’être humain.

Couverture Le Chat bleu

NUIT MAUVE

Éditions Gogito Ergo Sum

Étretat. Un château tout en haut d’une falaise.Un printemps caniculaire.Un mort.Dix suspects.Pour comprendre ce qu’il s’est passé, le commissaire Louis Celzer assisté de l’inspecteur Cyrille Dulac va devoir se montrer rusé. Si toutes les personnes présentes n’ont pas le profil d’un assassin, elles ne sont pas, à ses yeux, aussi inoffensives qu’elles veulent le laisser paraître. Ce qui est certain, c’est qu’elles ont toutes un grain de folie !

Couple plus proche de Laurel et Hardy que de Sherlock Holmes et du docteur Watson, Celzer et Dulac vont avoir du fil à retordre au milieu des résidents de ce curieux château…

Un polar original, des personnages tout droit sortis d’un film de Blake Edwards, et un suspense digne d’Agatha Christie.

SITCOM : L’INTÉGRALE

Éditions des Deux Anges

Sitcom ou comment les petits aléas du quotidien se transforment en grandes aventures ! Si Julia, la jolie brune, collectionne les gaffes, du côté de la blonde et sexy Betty, c’est plutôt les hommes… en attendant le prince charmant. C’est aussi ce qu’espère Gaël, le beau blond qui n’a pas son pareil pour se retrouver dans les situations les plus farfelues. Maxime, le brun un peu hors du temps, est horloger, et son existence est rythmée par des rencontres aussi inattendues qu’étranges. L’une d’elles se prénomme Isidore, et elle va bouleverser le cours de la vie de nos quatre trentenaires.

Sitcom : L’intégrale réunit les deux premiers romans de la minisérie à succès de Sébastien Monod et offre non seulement une suite aux aventures de Julia, Maxime, Betty et Gaël, mais aussi quelques bonus (anecdotes, photos, avis de lecteurs et revue de presse).

SITCOM 3 – ISIDORE OU LES NOCES REBELLES

Éditions des Deux Anges

Sitcom ou comment les petits aléas du quotidien se transforment en grandes aventures ! Si Julia, la jolie brune, collectionne les gaffes, du côté de la blonde et sexy Betty, c’est plutôt les hommes… en attendant le prince charmant. C’est aussi ce qu’espère Gaël, le beau blond qui n’a pas son pareil pour se retrouver dans les situations les plus farfelues. Maxime, le brun un peu hors du temps, est horloger, et son existence est rythmée par des rencontres aussi inattendues qu’étranges. L’une d’elles se prénomme Isidore, et elle va bouleverser le cours de la vie de nos quatre trentenaires.

Si vous avez aimé les deux premiers Sitcom de Sébastien Monod, alors vous serez heureux de retrouver leurs quatre héros dans cette courte suite, agrémentée de nombreux bonus (anecdotes, photos, avis de lecteurs et revue de presse).

L’AMER VEILLE

Éditions des Deux Anges

Ouessant, 1944. « Le sauvage », c’est ainsi qu’on surnomme Adrien sur l’île. Il faut avouer que son comportement a tendance à intriguer : quand il ne travaille pas tout en haut de son phare, c’est dans un mutisme inquiétant qu’il se réfugie. Seul l’un de ses collègues, le jeune Maël, parvient à l’approcher.

Alice l’a connu à Paris, quelques années plus tôt, dans les années folles. Il était jeune, beau, et sa gloire en tant que comédien semblait acquise. Mais il a subitement disparu alors que la jeune femme s’apprêtait à lui dévoiler ses sentiments. Quand elle retrouve enfin sa trace, il est devenu gardien de phare. Elle décide de lui écrire son amour. Hélas, la guerre éclate…

C’est avec minutie que Sébastien Monod dépeint la constance des sentiments. Ce n’est pas un roman-fleuve qu’il a écrit à l’ombre du Créac’h, le géant ouessantin, lors d’une résidence d’écriture de trois mois, mais une œuvre-phare. Lumineuse et néanmoins parsemée de zones d’ombre !

J’ÉTAIS VIVANT ET JE NE LE SAVAIS PAS

Éditions Textes Gais

La vie sentimentale de Clément est calme depuis son divorce avec Laurence. Il soigne sa musculature dans une salle de sport et lit le reste de son temps libre. Cette vie ordinaire lui convient.

Il croise un jour un jeune sans-abri dont le regard va le hanter. Le regard, mais aussi la culpabilité : il aurait pu lui donner un euro ou lui acheter un sandwich, pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? Il part à sa recherche afin de réparer son erreur.

Sébastien Monod aborde ici différents sujets de société, comme la souffrance au travail, la pauvreté ou la difficulté d’être gay encore à notre époque. Il parle aussi des rêves, ceux qui sont enterrés et ceux qu’on met tout en œuvre pour réaliser. Cette poignante histoire d’amour est-elle raisonnable, possible ?

LA MÈRE ET LES JOURS

Éditions Textes Gais

Sept personnes reçoivent des messages énigmatiques les enjoignant à se rendre dans un lieu où va planer l’ombre d’un mystérieux fantôme.

Sept personnes hautes en couleur dont on suit le road-train trip jusqu’au site de rencontre et leurs retrouvailles car ils sont tous membres d’une famille désunie.

Sébastien Monod nous raconte avec un humour parfois féroce une histoire où règnent les univers d’Armistead Maupin et d’Agatha Christie.

Laissez-vous mener en bateau jusqu’à l’Île de Sein, vous ne le regretterez pas.

LOUXOR PARADISE

Jacques Flament Éditions

Ahmès a décidé de quitter son pays, l’Égypte, et c’est Paris qu’il a choisie pour repartir à zéro. Sa nouvelle vie, il la débute dans la rue, comme SDF, jusqu’à ce qu’il pousse la porte du Louxor Paradise, hôtel à la devanture défraîchie tenu par une vieille égyptienne nommée Néfertiti. Bonne fée ou mère d’adoption ? Quoi qu’il en soit, grâce à son aide, la chance semble enfin lui sourire. Un nouveau boulot, des amis, des opportunités… Mais les bonnes surprises qui jalonnent son parcours seront-elles suffisantes pour lui faire oublier ce passé qui le hante ?

Louxor Paradise n’est pas vraiment un roman, mais plutôt un conte moderne, un récit initiatique visant à montrer que l’existence n’est qu’une succession de rencontres et d’occasions à saisir. Et que la quête ultime n’est peut-être pas le bonheur mais la sérénité.

AVANT QUE LA VIE NE NOUS SÉPARE

Éditions Textes Gais

Matthew admire le beau et talentueux Ralph Johnson. La star américaine est à Cinecittà en cette fin de printemps 1940 pour tourner son nouveau film Avant que la vie ne nous sépare et, heureux hasard, il est descendu dans le luxueux hôtel où travaille Matthew. L’occasion est inespérée de le rencontrer ! Mais Matthew n’est pas le seul admirateur de la star…

Sous le feu des projecteurs, les sentiments flamboient. Cependant la lumière ne saurait exister sans l’ombre. Matthew, Ralph et les autres, qu’ils l’ignorent ou feignent de l’ignorer, en recèlent une part.

Avant que la vie ne nous sépare parle de rêves et de renonciations, à l’aube de l’entrée en guerre de l’Italie auprès de l’Allemagne. Le roman explore les coulisses des sentiments et, puisque c’est son septième roman, donne à Sébastien Monod l’occasion de rendre hommage au septième art.

SITCOM 2 – ISIDORE OU LA GRANDE ILLUSION

Éditions Textes Gais

Julia, Maxime, Betty et Gaël partagent la même maison à Ménilmontant. Ils sont jeunes, beaux et ils débordent de vitalité. Tous les quatre ont un travail, un toit et assez d’argent pour profiter des jours heureux. Seulement voilà, la vie n’est pas le long fleuve tranquille auquel ils aspirent. Il suffit parfois d’un grain de poussière pour que le mécanisme de ce drôle de manège qu’est l’existence s’emballe et transforme le paradis en enfer. Des beaux-parents qui débarquent afin d’organiser le mariage du fiston, des producteurs de cinéma porteurs de projets extravagants, un soupirant bien trop pressant, une ex qui refait surface… Même les morts s’en mêlent ! Mais le quatuor en a vu d’autres et mettra tout en œuvre pour avoir son happy end !

Les personnages rencontrés dans Sitcom – Isidore ou le divin hasard sont à nouveau réunis dans ce roman fourmillant de situations burlesques et rocambolesques. Une vraie sitcom !

SITCOM 1 – ISIDORE OU LE DIVIN HASARD

Éditions Textes Gais

Il est des hasards et des coïncidences… Julia, Betty, Gaël et Maxime sont de jeunes trentenaires à la recherche d’un emploi, de l’amour, la gloire, ou simplement d’une nouvelle vie. Tous aussi différents les uns que les autres, ils vont pourtant finir par se croiser et faire un bout de route ensemble. Oui, c’est probablement ce que l’on nomme les hasards et les coïncidences.

Leur histoire ressemble à une de ces séries TV faites de surprises et de rebondissements. Foisonnantes à l’image de la vie. Mais serait-elle aussi savoureuse sans ces petits grains de folie ?

ANNA T’AIME

Éditions Publibook

Dragan, cet irrésistible gymnaste d’origine macédonienne, ce sportif à se faire damner toutes les saintes que la Terre ait portées, Anna l’a aussi dans la peau. Toquée de lui, pensant à lui jusqu’à l’overdose, la chorégraphe se heurte pourtant à quelques obstacles de taille : tout d’abord la relation amicale que tous deux entretiennent, mais surtout ces insinuations véhiculées par l’éphèbe qui prétend être homosexuel. Une idée que Anna ne veut croire qu’à moitié et qu’il lui faut résoudre à tout prix avant d’oser se déclarer. Certes, mais le temps presse. En effet, l’as du trampoline lui annonce subitement qu’il doit se rendre en Espagne pour quelque temps afin de travailler avec un nouvel entraîneur… Alors, vite, concocter un plan, préparer un rendez-vous arrangé avec un gay avéré et voir ce qu’il advient de ce guet-apens amoureux. Le pire vraisemblablement, puisque le lendemain de la dite rencontre, Dragan est introuvable…

Une homosexualité à prouver, des prétendants à écarter, une affaire véreuse à laquelle survivre, une mère azimutée à gérer, un voisin handicapé et sous le charme à ménager… Qui a dit que la quête amoureuse était de tout repos ? Pétillante, malicieuse, véritable machine de guerre quand il s’agit de s’assurer un avenir avec le sibyllin Dragan, Anna insuffle toute son énergie, toute sa folie douce, à un roman espiègle et irrésistible.

DONNEZ-LEUR 

LE REPOS ÉTERNEL

Éditions Publibook

Indépendant, asocial, apolitique, Jérémie Leblanc est un homme libre. Un acteur de talent, une boule de nerfs, un mystère. Lorsqu’on perd sa trace dans le Sud tunisien, son frère jumeau, qui le croyait mort depuis leur enfance, décide de partir à sa recherche. C’est bientôt à son tour de s’évanouir dans l’immensité du désert. Trois mois plus tard, l’un d’eux réapparaîtra…

Roman, scénarios, théâtre, enquête, psychologie : armé d’un second degré efficace, Sébastien Monod manipule le lecteur en le plongeant dans un puzzle narratif et formel complexe mais original, déroutant mais passionnant. Riche, conçue comme une poupée russe, une œuvre à part qui n’hésite pas à défricher des terrains inconnus.

RUE DES DEUX ANGES

Éditions Publibook

Arsène a une façon tout à fait particulière de considérer la vie et les gens qui l’entourent. Prenons sa concierge : il la veut moche, mal habillée et paraissant beaucoup plus que son âge. Rue des Deux anges, il a trouvé en Jo, pipelette au visage ingrat, tout ce qu’il recherchait. En plus de parler dans un argot tout juste compréhensible, sa concierge connaît tout sur les locataires. Justement ces derniers temps, un couple s’est installé dans l’immeuble et le moins que l’on puisse dire, croyez-en les indiscrétions de Jo, c’est qu’ils ont d’étrange mœurs. Reste à savoir pourquoi Arsène se sent attiré par ce mystère.

Les blagues d’Arsène ne sont pas toujours très fines, et pourtant, dans les relations qu’entretiennent les personnages, on sent poindre toute la subtilité d’un véritable auteur. En ménageant ses effets, Sébastien Monod retourne son histoire, multiplie les mystères et les rebondissements. Le lecteur ne sait pas où l’emmène le récit mais une chose est sûre, l’auteur, lui, tient le cap et sait, par petites touches suggestives, susciter le désir.

ON IRA (PRESQUE) TOUS AU PARADIS

H&O Éditions

Pousser la porte du Paradis ! Rémi est jeune, il est beau, il a tout pour plaire malgré un passé un peu trouble. Laurent est jeune, il est beau, il a tout pour plaire aussi, même s’il est un peu naïf. Leur arrivée au Paradis ne pouvait pas passer inaperçue. Très vite, le petit clan des habitués du plus sympa des bars gays les adopte. Après tout, le but des sorties nocturnes n’est-il pas de rencontrer de nouvelles têtes ? Mais, accueillir un inconnu, c’est peut-être faire entrer le loup dans la bergerie… Ou, comme dirait leur mentor transformiste : « Si on savait dès le matin ce qui nous attend le soir, on mettrait un slip propre ».

Au Paradis, il n’y a pas d’Happy Hours, il y a des Heures Joyeuses. Tous les jours, de 18 à 21 heures, elles rassemblent une foule bigarrée autour de verres à moitié prix. Pour certains, c’est une sortie occasionnelle, pour d’autres, c’est presque une religion. Sous l’œil bienveillant de Dino, le vieux travelo qui semble avoir été là avant la construction du bar, un groupe d’amis partage ses états d’âme et ses aventures sans jamais – mais jamais ! – trop se prendre au sérieux.