Entre nous.

Une rentrée chargée

Couverture Rue des Deux Anges

Cela faisait longtemps que je ne vous avais pas donné de nouvelles. Trop ! Il faut dire que j’ai été très occupé depuis un peu plus d’un an avec l’écriture d’un essai, le travail de correction de mon nouveau roman et la réécriture (partielle) de mon premier, Rue des Deux Anges, que j’ai décidé de ressortir à l’occasion du vingtième anniversaire de sa parution.

Je devrais préciser qu’il s’agit de mon premier roman personnel, pas de ma première publication. Six ans auparavant, en 1999, j’avais participé à une bien sympathique aventure : la cocréation d’une série littéraire, « Les Heures Joyeuses », pour H&O éditions. Ma contribution concerne les trois premiers tomes (le mot est exagéré, c’étaient de tout petits livres). J’avais écrit le premier, On ira (presque) tous au Paradis (qui avait été grandement retravaillé, d’où la présence de deux noms sur la couverture), et relu les suivants.

À la relecture de Rue des Deux Anges l’été dernier, j’ai levé les yeux au ciel à maintes reprises. Tout me semblait si boursouflé ! C’était mon premier texte, et le travail avec l’éditeur avait été bâclé. Malgré tout, à sa sortie, il avait fait l’objet d’un intérêt certain et avait connu un petit succès, probablement en raison de son audace et de sa liberté. Surtout, il m’avait permis de me faire un nom dans le milieu de l’édition.

Deux autres titres sont ensuite sortis chez ce même éditeur, un roman un peu expérimental, et puis Anna t’aime qui avait été repéré lors de concours littéraires. Surtout, ensuite, j’ai pu intégrer une maison d’édition autrement plus rigoureuse avec laquelle j’ai travaillé à cinq reprises et qui m’a donné l’occasion de connaître un premier vrai succès avec mes Sitcom.

Mais revenons à cette rentrée chargée !

Après Rue des Deux Anges, disponible sur ce site et sur Amazon le mardi 16 septembre, ce sera au tour de mon dernier bébé, Les Voiles de la liberté, de pointer le bout de son nez, le 1er octobre. Publié par une maison d’édition basée à Bruxelles, les éditions Asmodée Edern, ce roman est le récit de deux femmes qui, dans l’Angleterre du début du XVIIIe siècle, décident de fuir la misère et de trouver meilleure vie de l’autre côté de l’Atlantique. Roman d’aventures, ce texte est surtout l’histoire intime de deux femmes prêtes à tout pour conquérir leur liberté, deux femmes qui ont existé et qui, pour parvenir à leurs fins, ont dû se travestir en homme : c’était la condition sine qua none pour espérer monter à bord d’un navire et y travailler. J’ai aimé cette caractéristique qui, sur le plan, de l’intrigue apporte un vaste champ de possibilités et d’intrigues. Cet ouvrage sera disponible sur le site de l’éditeur (Librairie corsaire) et sur les sites marchands traditionnels.

Au mois de novembre, une autre publication vous attend. Mais il est encore trop tôt pour en parler. Rendez-vous dans un mois pour en savoir davantage ! En attendant, deux romans n’attendent qu’à être commandés et surtout lus !

À très vite !

Sébastien Monod

Couverture Les Voiles de la liberté

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